quarta-feira, 19 de outubro de 2011

SOCIAL MOVEMENTS

Text writted by scribe Valdemir Mota de Menezes

Based on the article by Maria Gloria Gohn, the Treaty entitled "SOCIAL MOVEMENTS IN CONTEMPORARY" I mean that I agree with the definition given by the writer Gohn that characterizes social movements and collective social actions in which people organize themselves to make their demands. Social movements have always emerged in society, every time a group feels oppressed, soon comes to be articulated with peers looking for your space. The social movements are pockets of resistance to the oppressive system. Today these social movements raise the banner of civilization ideals seeking prestige or equal the minority groups.
Examples of social movements who are mobilizing in Brazil in recent decades are regarded as excluded groups such as blacks and homosexuals. This reflex can see on soap operas of TV Globo as that in the eighties gave little room for black actors as protagonists and gay characters. Today, the twenty-first century, we see many black actors and practically a gay character in each novel.

Another movement of a religious nature which has also been prominent in Brazil are evangelical Protestants who in the past few decades of meaningless numbers, and achieved a significant share of the population. Evangelicals have taken massive media like radio and TV and now we have the TV Record, a secular television network, with evangelical direction, playing the sweeps with the powerful Globo TV and other communications giants leaving behind. This social movement also holds several seats in Congress seeking to maintain their rights of freedom of worship and expression.

Social movements were under various acronyms and interests. The American Indians are also getting stronger and making their CLAIMS even reached the post of presidency of the country, as happened in Bolivia with Evo Morales.




The movements that fight for the preservation of the Amazon in Brazil have also emerged, embodied in the Chico Mendes, Marina Silva, who narrowly won the last election for president of Brazil.

Social movements can leave the field of debate, the marches and demonstrations could erupt with violent and serious social unrest, as often happens with the rural movements like the MST. With the failure of the state to maintain order and discipline in many cities of America, settle mafias, gangs and delinquent groups that seek to dominate the urban periphery and in many cases come to face the public force in big cities like Rio de Janeiro in Brazil , Juarez in Mexico and several cities in Colombia.




Amazingly, even in the prisons, have articulated social movements with a political ideology. The "First Party Capital" is a social movement that is constantly making CLAIMS for governor of São Paulo seeking improvements in prison life, and this marginal group, achieved successive concessions from the state, thanks to good articulation of their leaders. In 2006 provoked riots and curfew in much of the state of Sao Paulo.

With the advent of the internet, it is easy to predict the emergence of numerous groups with the most bizarre claim possible. It is the governments of Brazil and other countries of America, do not allow criminal movements and ideologies that undermine society to strengthen and ultimately causing terrorism







sexta-feira, 29 de julho de 2011

SOCIETE FEODALE

Je lire c´est texte sur la société feodale et je percevu la difficulté du peuple pauvre de vivre dans un système plus dur, hiérachie social avec peu mobilité. Toujourd le peuple dans toute civilisation va porte le poid de soutenir le nobresse. (Texte d’escribe Valdemir Mota de Menezes)
http://www.mtholyoke.edu/courses/nvaget/230/cm8.html

LA SOCIETE FEODALE
C'est une société brutale mais organisée d'une manière assez stricte pour que les droits et les devoirs de chacun soient clairement définis.
Une société hiérarchisée
La distinction fondamentale est la relation entre le suzerain et le vassal qui lui rend hommage en se délarant son "homme lige". Il lui prête serment de fidélité et reçoit en échange protection, aide et secours.






La Société est une succession d'hommages depuis le roi lui-même sans supérieur (ou qui refuse l'hommage à l'Empereur) jusqu'au serf, qui lui n'est le seigneur de personne. Généralement le seigneur est celui qui a donné une terre et qui prétend recevoir en échange l'hommage. Dans les rangs supérieurs, on parle moins de dons de terres que de dons de seigneuries, ainsi le roi crée des duchés, les ducs créent des comtés, les comtes créent des baronies, les barons créent des petites seigneureries qu'ils donnent à des seigneurs. Ceux-ci sont les maîtres du sol réel. Les paysans exploitant le sol doivent des droits seigneuriaux aux seigneurs sous la forme de redevances, de respect des monopoles de ces derniers et bien entendu de corvées à leur bénéfice. Entre eux les nobles ne parlent pas de terre, les services sont toujours des services d'armes (l'ost).








Une société différenciée
La noblesse est constituée par les seigneurs, barons, comtes et ducs dont la caractéristique est la possession d'une seigneurie même fictive (d'ou le souvenir de celles-ci par la particule "de" (Geoffroy de Coucy est en fait Geoffroy, seigneur de Coucy). Le rang vient du nombre plus ou moins grand de seigneuries que l'on peut posséder, d'ou l'intêret des mariages, des conquêtes ou des faveurs royales pour accroître ses seigneuries et par là le nombre de ses titres. Le noble ne travaille pas, car cela "avilit" (rend vilain). Il n'a qu'une seule fonction, le métier des armes. Il ne vit que pour le service militaire (l'ost) et s'y prépare par des tournois ou même par la chasse. Pour ne pas rester une simple brute, le noble poussé par l'église devient chevalier. La chevalerie est une conception spirituelle et policée du métier des armes au service de la foi chrétienne, de l'Eglise, de la femme et de l'enfant.
Peu à peu la noblesse ruinée par les guerres et les croisades va évoluer. Elle doit accepter, souvent malgré elle, la puissance royale. (Le roi attire les nobles à son service en les rétribuant ou en les flattant). La noblesse ne travaille pas, et de ce fait vit de plus en plus en parasite sur les autres classes de la société, ce qui la rend souvent impopulaire, d'autant qu'elle vit aussi de plus en plus dans le luxe , ce qui fait évoluer ses moeurs vers la politesse, la galanterie. C'est pour elle et par elle que va se developper la mode de l'amour courtois que vont définir les poètes, les artistes, les troubadours.
Les paysans vivent pauvrement souvent liés à un seigneur qu'ils ne peuvent pas quitter et par là au sol même de la seigneurie (serfs attachés à la glèbe). Ils peuvent néanmoins évoluer en poussant le seigneur à les affranchir contre indemnité bien sûr, même s'ils continuent à payer des droits. De plus en plus nombreux, les paysans défrichent les terres incultes (d'ou les nombreux "essarts"). Dès le XII siècle, les techniques s'améliorent (collier d'élevage, brouette, charrue, faux) mais le paysan est souvent dans une condition fragile et ne peut subsister qu'en vivant en groupe (groupe familial, groupe paroissial, groupe villageois).
Les bourgeois apparaissent au XIII siècle avec la renaissance des villes. Ce sont les habitants des bourgs, qui ont reçu souvent une charte de liberté de la part du seigneur local, à moins qu'ils ne profitent d'une ville franche créé de toutes pieces hors de toute seigneurie. Les bourgeois forment une commune (ou communauté) qui se réserve le droit de gérer la ville, car les non-bourgeois ou simples résidents trop pauvres pour acheter le droit de bourgeoisie ou trop récents dans la ville, n'ont pas droit au chapitre. La ville se distingue par des remparts hors desquels se trouvent des faubourgs et la banlieue. Les principaux monuments sont les églises paroissiale: conventuelles ou même privées (chapelles de familles, de corporations), et les monument civils: la maison de ville où siègent les syndics de la commune, surmontée du beffroi du guetteur, ainsi que la halle du marché.
En ville, on trouve les riches (banquiers, juristes, commercants) vivant dans des hôtels particuliers. Les classes moyennes d'artisans, de petits commercants fréquentent les corporations ou les guildes, alors que les pauvres (ouvriers ou journaliers mendiants) vivent hors de tout cadre établi. La ville est toujours un lieu de production industrielle (artisanat) et d'échanges (foires et marchés) ces rencontres en font un lieu de passage (d'ou l'importance des hôpitaux pour les voyageurs pauvres ou malades) et au delà un lieu d'échanges intellectuels, de progrès et de nouveautés. D'ailleurs ce sont les villes qui recoivent les étudiants et les professeurs dès le XIII siècle (collèges et universités).
Une société très dure
Beaucoup de violence entre les particuliers, entre les familles, entre les groupes villageois, territoriaux ou sociaux. On aime se battre, on aime voir les autres se battre.
Beaucoup de pauvreté. La subsistance est rare et l'on risque toujours la surpopulation. La moindre catastrophe naturelle amène la famine et les épidémies sont d'autant plus fréquentes que l'on ne sait ni les prévenir ni le guérir (ainsi la lèpre, mais surtout les fièvres et les pestes) le seul intêret de ces catastrophes est de réduire la pression démographique. La France vers 1350 avait près de 20 millions d'habitants soit autant qu'à la fin du XVIII siècle, la grande peste noire va en faire disparaître un tiers.








Beaucoup de misère: peu de biens de consommation, aucun superflu sauf pour les riches nobles ou bourgeois, on comprend que la rudesse de la vie fasse désirer le Paradis après la mort. Aucune hygiène (il n'y a des étuves que dans les villes).
Peu de communications, les routes sont inexistantes, les voyages périlleux (ce qui n'empêche pas les pèlerins et les voyageurs de partir). La France du nord parle la langue d'Oil (tres germanisée) alors que la France du sud parle la langue d'oc plus latine et la France du centre-est le franco-provencal. Les patois sont donc très nombreux et la seule langue de vraie communication est encore le latin, langue des clercs, des juristes et des savants.

segunda-feira, 25 de julho de 2011

AMADURECIMENTO

AMADURECIMENTO


O amadurecimento do homem significa, em qualquer
sociedade, que o indivíduo adquire todas as habilidades
imprescindíveis para a vida cotidiana da sociedade
em questão(...) O homem deve aprender a segurar
o copo e a beber no mesmo, a utilizar o garfo e a faca
(...) isso evidencia que a assimilação da manipulação
das coisas é sinônimo de assimilação das relações
sociais

HELLER, Agnes. In: ÁRIES, Philippe et DUBY, Georges. História da Vida Privada. V3.

quinta-feira, 28 de abril de 2011

DIMENSIONI DELLE SCUOLE

(Professore Valdemir Mota de Menezes)

Io sto facendo il tirocinio presso la Scuola Media Statale signor Tarquinio Esmeralda a San Vicente / SP, nel pomeriggio. Questa scuola si trova in Av. Ulysses Guimarães, 223, di fronte alla stazione di polizia dove lavoro. Sono accompagnati dal professor Sonia in ogni classe che si sta vivendo e sono riunione della scuola. Questa proprietà è la seconda più grande formazione scolastica statale a St. Vincent e possiede circa duemila studenti. E 'un labirinto di aule che il lavoro in tre periodi. I vetri della scuola sono conservati perché vi è uno schermo di ferro sulla parte esterna di protezione contro la predazione.

La maggior parte degli studenti in uniforme scolastica. Mi ha informato che la scuola richiede agli studenti di presentarsi a scuola in divisa, ma la legge dello Stato non ha bisogno di questa educazione postura come obbligatori, perché se alcuni tollerare senza uniforme, ma capisco che i funzionari stanno spingendo non per questo cattiva abitudine prolifera tra gli studenti. In diverse stanze che sono entrato io non ho visto alcuna tabella rotto o una sedia, o un libro strappato. Non che questo sia un ritratto accurato dei fatti. Ma è quello che ho potuto vedere.

materiale scolastico e pasti scolastici sembrano essere nessun problema, perché spesso carrelli retrattili scaricando il cibo e libri. Nella scuola vedo molti genitori sono stati invitati a prendere coscienza del comportamento dei loro figli, ma questi genitori non vogliono credere che i loro figli sono studenti poveri, spesso giustificata dicendo che gli adolescenti hanno problemi psicologici o anche biasima scuola . Non ho mai visto l'atteggiamento dei genitori riconoscono che non stanno giocando il suo ruolo di bene.